1** Laterna magica - Life Models - 8. A sick bed

Life Models

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Bag with holes, a (Une bourse trouée)

8. A sick bed

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Titre8. A sick bed
FabricantRiley Brothers
Organisateur de projectionUnited Kingdom Band of Hope Union (U.K.B.H.U)
Date1914
Lieu de fabricationAngleterre (Bradford)
Description techniquelife models, photographie rehaussée de couleurs, plaque carrée fixe
DimensionsL. 83 mm l. 83 mm
CotePLM-00045-008 (Coll. Cinémathèque française)
Six lantern addresses for children, principally designed for use at Sunday Evening Services - livret
You young people do not think of this. You do not know that many men and women who have to lie upon a bed of sickness for days and months lost their health by putting it into a bag with holes. Not always wickedly, either, but sometimes through carelessness. When God gave us health He meant us to take care of it. The boy or girl who sits up late and then rises late; who has to rush to school or work; who takes foolish risks and does silly things, is putting health into a bag with holes, and one of these days they will find it has gone.


R & R, Six lantern addresses for children, principally designed for use at Sunday Evening Services, Set
1884-1889, p.5

Un extrait du premier chapitre du livre d'Aggée est au centre de ce récit : "Considérez attentivement vos voies. Vous avez semé beaucoup et recueilli peu; vous mangez, mais non jusqu'à être rassasiés; vous buvez, mais non jusqu'à votre soûl; vous êtes vêtus, mais non jusqu'à être réchauffés; et le salarié gagne son salaire pour une bourse trouée " (plaque 1).
Le narrateur interroge son auditoire : est ce que l'un d'entre eux a déjà pensé à regarder si sa poche était trouée avant d'y déposer le moindre penny ? Que se passerait-il si la poche était trouée et qu'un homme y déposait tout son salaire ? " (plaque 2).
Mais il n'y a pas que l'argent qui se perd. Le temps qu'un jeune homme passe à ses loisirs au lieu d'étudier ne revient-il pas à mettre ce temps dans une bourse trouée (plaque 3) ?
Le narrateur prend alors l'exemple édifiant de David Livingstone (plaque 4). Parti de rien, à force de travail, il devint l'un des hommes les plus respectés de son temps.
A la plaque 5, le narrateur interroge une nouvelle fois son auditoire, que pensent-ils faire de leur vie ? La passer à rêvasser devant des bêtises (plaque 6) ? Ou s'efforcer d'être utile à la société en étant par exemple un bon cordonnier (plaque 7) ?
Après le travail, le narrateur s'arrête sur une autre chose que les hommes ont tendance à gaspiller : leur santé (plaque 8). L'auditoire est composé de jeunes enfants, aussi ils ne peuvent comprendre la douleur de rester des semaines dans un lit (plaque 9), mais ce qu'ils peuvent comprendre est l'obligation de saisir leur chance en étudiant correctement (plaque 10) .
La morale se fait plus précise sur les plaques suivantes : il ne faut pas jouer aux courses ou au casino (plaques 12 et 13) car cela n'apporte jamais rien de bon (plaque 14). Il ne faut pas parier entre amis (plaque 15) ni être trop attaché à son argent (plaque 16), il faut uniquement être un bon serviteur. Dieu fait don de tant de richesse et il faut uniquement tenter de les utiliser avec le plus d'intelligence possible (plaque 18).


8. A sick bed