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Adaptation en six plaques de verre de type Lapierre du conte populaire Peau d'Ane, dont la version la plus célèbre est celle de Charles Perrault, parue en 1694, rattachée aux Contes de ma mère l'Oye en 1697.
Six plaques de verre de type Lapierre représentant le conte populaire Peau d'Ane avec une variante de leur production : les plaques chromolithographiées. D'un verre plus fin que les vues sur verre en peinture fine, ces plaques était réalisées à grande échelle pour un coût moindre par l'usage de la technique de la chromolithographie, procédé en pleine expension au XIXème siècle. Une version de ce thème en vues sur verre en peinture fine est également disponible : Peau d'Ane (PLM-00561, 12 plaques).
Nombre de plaques disponibles pour cette série : 6
Mourante, une reine se fait promettre par le roi son mari de ne prendre pour nouvelle épouse qu'une femme plus belle qu'elle. Mais la seule personne capable de rivaliser avec sa beauté n'est autre que sa propre fille, et le roi lui fait sa demande. Pour échapper à cette union, la princesse demande pour sa dot des robes irréalisables à son père qui, hélas parvient toujours à les lui offrir. Elle lui demande alors de sacrifier son âne qui produit des écus d'or et le roi s'exécute (plaque 1). Sur les conseils de sa marraine, la princesse s'enfuit alors du château, revêtue d'une peau d'âne. Elle emporte avec elle sa toilette et ses plus belles robes et devient servante (plaque 2). Un prince d'un autre royaume aperçoit Peau d'Ane alors qu'elle était en tenue de princesse (plaque 3). Il ne peut l'oublier. Un jour, Peau d'Ane prépare une galette et laisse tomber sa bague dans la pâte (plaque 4). La galette est pour le prince et il reconnaît la bague de la belle princesse et demande immédiatement que toutes les femmes et demoiselles du pays viennent essayer la bague. Aucune n'a le doigt qui rentre hormis Peau d'Ane (plaque 5). Le prince épouse enfin sa belle princesse et Peau d'Ane évite le mariage avec son père (plaque 6).