Rechercher

Choisir un de ces critères :

Lapierre

Pierrette et Pierrot

Adaptation en six plaques de verre de type Lapierre des amours de Pierrot et Pierrette, personnages classiques du Petit Théâtre de Polichinelle.

Les frères Lapierre mentionnent dans leur Catalogue n°1 les vues sur verre en bandes en peinture fine. Ce type de plaques possède la particularité d'être bordé par un papier vert, marque des Lapierre. Les motifs sont imprimés sur le verre avant d'être rehaussés de couleurs à la main. Ce type de plaque était très répandu et les six plaques ici présentées sont issues de cette production. Ces plaques correspondent aux plaques type Lapierre n°2, avec une hauteur avoisinant les 61 mm. Le Catalogue n°1 indique que ce type de plaques coûtait alors 3,30 francs la douzaine.

Nombre de plaques disponibles pour cette série : 6

  • Plaques
  • Contexte
1-3. Pierrette et Pierrot
1-3. Pierrette et Pierrot
4-6. Pierrette et Pierrot
4-6. Pierrette et Pierrot
7-9. Pierrette et Pierrot
7-9. Pierrette et Pierrot
10-12. Pierrette et Pierrot
10-12. Pierrette et Pierrot
13-15. Pierrette et Pierrot
13-15. Pierrette et Pierrot
16-18. Pierrette et Pierrot
16-18. Pierrette et Pierrot

Pierrette habitait avec son père une petite maison modeste dans un village. Tous les matins, elle arrosait les fleurs du petit jardin puis elle faisait le déjeuner de son vieux père (plaque 1). Le dimanche elle aimait aller danser avec ses compagnes. Mais un jour, elle se sent mal alors qu'elle allait chercher des provisions. Pierrot qui passait par là, la trouva évanouie. Il la prit dans ses bras et la ramena chez son père. Pierrette était très malade et Pierrot resta assis à son chevet (plaque 2). Elle commençait à aller mieux quand le feu prit dans la maison. Pierrot plein de courage sauva Pierrette et son père. Désormais, Pierrette, pleine de reconnaissance, se promenait au bras de Pierrot alors qu'il guérissait de ses blessures du feu. Une fois sur pied, Pierrot demanda Pierrette en mariage à son père (plaque 3).
Mais Pierrette était déjà promise à son cousin Arlequin. Cette nouvelle causa le désespoir de Pierrot qui décida de partir. Sur son chemin, il rencontra deux enfants en pleurs à qui il donna tout son argent pour qu'ils puissent acheter du pain. Puis comme il passait sur les bords d'une rivière, il vit un homme qui se débattait et appelait au secours (plaque 4). Il se jeta à l'eau et ramena le noyé sur le rivage et fut bien étonné d'avoir sauvé Arlequin, la cause de son malheur. Mais Arlequin avait trop d'eau et malgré tous les soins, il rendit son dernier soupir. Pierrot retourna vite chez Pierrette annoncer ce malheur à son père (plaque 5). Celui-ci avait appris qu'Arlequin n'était qu'un mauvais sujet, tandis qu'on avait cité les belles actions de Pierrot. C'est alors que Pierrette rentra et Pierrot se jeta à ses genoux. Plus rien ne s'opposait à leur union et le père les bénit et permit que le mariage ait lieu au plus tôt. Le mariage fut splendide et les gens du village disaient que c'était le courage uni à la beauté (plaque 6).