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Life Models

Nazareth

La Nativité chrétienne est ici mise en image.

Conçue par Bamforth & Co à partir de 1895, la série intitulée « Nazareth » n'est pas au sens strict du terme de type Life Models. Il ne s'agit pas de photographies rehaussées de couleurs, les sujets étant ici des gravures rehaussées de couleurs. Même si le format est le même, cette série fait partie des "Special Drawings" éditées par Bamforth & Co. La série ci présentée date de l'édition de 1898 de ces plaques.

Nombre de plaques disponibles pour cette série : 9

  • Plaques
  • Contexte
[1. intro with title]
[1. intro with title]
[2.] Tho' poor the chamber, come he…
[2.] Tho' poor the chamber, come he…
[3.] Shepherds whoose flocks were f…
[3.] Shepherds whoose flocks were f…
[4.] Tho poor be the chamber, &e
[4.] Tho poor be the chamber, &e
[5.] Kings from a far land draw nea…
[5.] Kings from a far land draw nea…
6. The poor [be the chambers, &e]
6. The poor [be the chambers, &e]
[7. Wind, to the cedars proclaim th…
[7. Wind, to the cedars proclaim th…
[8.] The night is gone I behold in …
[8.] The night is gone I behold in …
[surimpression]
[surimpression]

Les huit plaques font se succéder les grands moments de la Nativité chrétienne : la naissance de l'enfant (plaque 2), l'annonce de la Nativité aux bergers (plaque 3), la présentation aux bergers (plaque 4), le voyages des Rois Mages (plaque 5), l'adoration des Mages (plaque 6), la joie de la Bonne Nouvelle répandue (plaque 7) et enfin l'image du Christ Sauveur (plaque 8).
Une neuvième plaque accompagne cette série. Il s'agit d'une surimpression de l'étoile du berger, projetée très certainement en même temps que la plaque 5.

Cette série illustre le chant évangélique de Charles Gounod (1818-1893) et Alain Porte, « Jésus de Nazareth », composé originellement en français en 1856.
Célèbre compositeur français de l'opéra Faust, Gounod baigna toute sa vie dans un climat religieux, signant ses lettres abbé Charles Gounod jusqu'à son mariage avec Anna Zimmermann en 1852. Vingt messes, deux Requiem, un Te Deum, de nombreux motets et cantiques témoignent de son attachement à la religion chrétienne. En 1862, « Jésus de Nazareth » est traduit en anglais par Henri F. Chorley, dramaturge, poète mais aussi critique musical du journal l'Athenaeum, célèbre hebdomadaire culturel de l'Angleterre victorienne.