1** Laterna magica - Life Models - 3. A brisk trade was going on

Life Models

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Ralph's favourite story (L'histoire préférée de Ralph)

3. A brisk trade was going on

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Titre3. A brisk trade was going on
FabricantGeorge Miles Mason
ÉpoqueFin du XIXème siècle - début du XXème siècle
Lieu de fabricationAngleterre (Southampton, Hampshire)
Description techniquelife models, photographie, plaque carrée fixe
DimensionsL. 81 mm l. 81 mm
CotePLM-00080-003 (Coll. Cinémathèque française)
Ralph's favourite story or "The wanderer's welcome" - livret
It was Saturday evening, and in a noisy East-End street a brisk trade was going on. As the gours passed, the noise and din become greater, each one crying his wares, and trying to persuade the crowds who were passing to and fro on the pavements to stop and buy.

John Burnham, Ralph's favourite story : or, "The wanderer's welcome", n.d.

La vie à la campagne est paisible (plaque 1), alors qu'en ville tout le monde s'affaire (plaques 2 à 4).
Un père et son fils se promènent au milieu de cette agitation (plaque 5). Le fils, Ralphie, adore déambuler dans le marché et y dépenser son penny de la semaine. Ce jour là, il décide d'acheter des fleurs (plaque 6). Il est heureux de rentrer chez lui avec ses fleurs (plaque 7) et s'empresse de les mettre dans l'eau (plaque 8). Le père, Stephen Maxwell, est attendri par le comportement de son jeune fils qu'il élève seul depuis la disparition de sa femme. Ce soir là, Ralphie réclame une histoire à son père (plaque 9). Celui-ci n'en connaît aucune et lui retourne la question : il lui demande alors son histoire préférée. Le jeune garçon raconte alors l'histoire du Fils Prodigue (plaque 10). Tout en parlant, le petit Ralphie s'endort dans les bras de son père (plaque 11). Cette histoire plonge alors Stephen dans une réflexion sur ses propres rapports avec son père (plaque 12). Cela fait des années qu'il est parti de chez lui, et comme le Fils Prodigue, il n'a jamais donné de nouvelles à son père. Il se souvient que la dernière fois qu'il avait abordé le sujet, c'était juste avant que sa femme ne tombe malade (plaque 13). Sa pauvre Jessie était partie bien trop tôt (plaques 14 à 18). Il lui avait promis sur son lit de mort de revoir un jour son père, mais après sa disparition, il s'était plongé dans le travail pour oublier son chagrin, une voisine s'occupant alors de Ralphie (plaque 19). Il n'avait jamais repensé à revoir son père jusqu'à ce soir. Agenouillé devant le lit de son fils, il jure alors de partir au plus tôt voir son père et lui présenter son petit-fils, afin de tenir sa promesse (plaque 20). Dès le lendemain(plaque 21), il se montre heureux à l'idée d'aller vivre dans une maison avec un jardin et des fleurs (plaque 22). Ensemble, ils préparent leurs affaires (plaque 23), et disent adieux à la mère et l'épouse (plaque 24). Après un long voyage (plaque 25), ils arrivent devant la maison qui évoque tant de souvenirs à Stephen (plaque 26). Ralphie se précipite devant le parterre de fleurs (plaque 27) et il prononce alors pour la première fois le mot « grand-père ». Le vieil homme n'en croit pas ses oreilles et Stephen surgit pour combler les retrouvailles (plaque 28). Ils dînent alors ensemble (plaque 29). La soirée passe et c'est enfin la réconciliation entre le vieux père et le fils tant attendu, tel le Fils Prodigue (plaque 30).


3. A brisk trade was going on