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Life Models

Ralph's favourite story

Histoire d'un père, Stephen Maxwell, qui remet en cause son comportement avec son propre père après avoir écouté Le Fils Prodigue, histoire préférée de son fils, Ralph.

Trente plaques de type Life Models, non rehaussées de couleurs, fabriquées par la firme anglaise G. M. Mason en 1917, selon leur mention page 23 du Catalogue of photographic slides for the optical lantern, Southampton datant de 1917. Il y est également indiqué quatre plaques optionnelles pouvant venir s'ajouter à la série. Ces quatre plaques ne sont pas conservées à la Cinémathèque française. D'après le livret accompagnant la série (conservé à la Cinémathèque française et dont des extraits sont proposés ici en accompagnement de chaque plaque), ces quatre plaques transposent les paroles de chants religieux suivants : - Joy in Heaven (plaque projetée avant la première plaque de la série) - Return, O Wanderer (plaque projetée entre la 13ème et 14ème plaque) - Home Sweet Home (plaque projetée entre la 22ème et 23ème plaque) - The Prodigal's Return (après la 30ème plaque).

Nombre de plaques disponibles pour cette série : 30

  • Plaques
  • Contexte
1. A dear old English lane
1. A dear old English lane
2. Some of teh great army of [flowe…
2. Some of teh great army of [flowe…
3. A brisk trade was going on
3. A brisk trade was going on
4. The open door of the Great Dragon
4. The open door of the Great Dragon
5. A man, leading by the hand a boy
5. A man, leading by the hand a boy
6. Ralph spent his penny on a fruit…
6. Ralph spent his penny on a fruit…
7. Ralph held his fading flowers
7. Ralph held his fading flowers
8. He filled a jug with water
8. He filled a jug with water
9. Would you like to hear a Sunday …
9. Would you like to hear a Sunday …
10. The prodigal's return
10. The prodigal's return
11. His father clasped him in his arm
11. His father clasped him in his arm
12. Ralph's father stood at the [...]
12. Ralph's father stood at the [...]
13. Their home was a very happy one
13. Their home was a very happy one
14. Jessie had drawn close to the w…
14. Jessie had drawn close to the w…
15. Stephen slipped his arm around her
15. Stephen slipped his arm around her
16. Stephen insist on her lying down
16. Stephen insist on her lying down
17. The doctor attented Jessie
17. The doctor attented Jessie
18. Jessie lay propped up on [her p…
18. Jessie lay propped up on [her p…
19. A kind hearted old woman
19. A kind hearted old woman
20. Stephen bowed his head upon his…
20. Stephen bowed his head upon his…
21. Ralph and his father at breakfast
21. Ralph and his father at breakfast
22. The pretty ivy-covered cottage
22. The pretty ivy-covered cottage
23. A busy week of preparation foll…
23. A busy week of preparation foll…
24. They paid a last visit to the […
24. They paid a last visit to the […
25. Two travellers started up the road
25. Two travellers started up the road
26. ''Here we are, Ralphie,'' said …
26. ''Here we are, Ralphie,'' said …
27. An old man stood in the garden …
27. An old man stood in the garden …
28. And placed his hands on the ben…
28. And placed his hands on the ben…
29. Stephen insisted on setting the…
29. Stephen insisted on setting the…
30. Father and son drew their chair…
30. Father and son drew their chair…

La vie à la campagne est paisible (plaque 1), alors qu'en ville tout le monde s'affaire (plaques 2 à 4).
Un père et son fils se promènent au milieu de cette agitation (plaque 5). Le fils, Ralphie, adore déambuler dans le marché et y dépenser son penny de la semaine. Ce jour là, il décide d'acheter des fleurs (plaque 6). Il est heureux de rentrer chez lui avec ses fleurs (plaque 7) et s'empresse de les mettre dans l'eau (plaque 8). Le père, Stephen Maxwell, est attendri par le comportement de son jeune fils qu'il élève seul depuis la disparition de sa femme. Ce soir là, Ralphie réclame une histoire à son père (plaque 9). Celui-ci n'en connaît aucune et lui retourne la question : il lui demande alors son histoire préférée. Le jeune garçon raconte alors l'histoire du Fils Prodigue (plaque 10). Tout en parlant, le petit Ralphie s'endort dans les bras de son père (plaque 11). Cette histoire plonge alors Stephen dans une réflexion sur ses propres rapports avec son père (plaque 12). Cela fait des années qu'il est parti de chez lui, et comme le Fils Prodigue, il n'a jamais donné de nouvelles à son père. Il se souvient que la dernière fois qu'il avait abordé le sujet, c'était juste avant que sa femme ne tombe malade (plaque 13). Sa pauvre Jessie était partie bien trop tôt (plaques 14 à 18). Il lui avait promis sur son lit de mort de revoir un jour son père, mais après sa disparition, il s'était plongé dans le travail pour oublier son chagrin, une voisine s'occupant alors de Ralphie (plaque 19). Il n'avait jamais repensé à revoir son père jusqu'à ce soir. Agenouillé devant le lit de son fils, il jure alors de partir au plus tôt voir son père et lui présenter son petit-fils, afin de tenir sa promesse (plaque 20). Dès le lendemain(plaque 21), il se montre heureux à l'idée d'aller vivre dans une maison avec un jardin et des fleurs (plaque 22). Ensemble, ils préparent leurs affaires (plaque 23), et disent adieux à la mère et l'épouse (plaque 24). Après un long voyage (plaque 25), ils arrivent devant la maison qui évoque tant de souvenirs à Stephen (plaque 26). Ralphie se précipite devant le parterre de fleurs (plaque 27) et il prononce alors pour la première fois le mot « grand-père ». Le vieil homme n'en croit pas ses oreilles et Stephen surgit pour combler les retrouvailles (plaque 28). Ils dînent alors ensemble (plaque 29). La soirée passe et c'est enfin la réconciliation entre le vieux père et le fils tant attendu, tel le Fils Prodigue (plaque 30).