1** Laterna magica - Life Models - 5. A man, leading by the hand a boy

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Ralph's favourite story (L'histoire préférée de Ralph)

5. A man, leading by the hand a boy

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Titre5. A man, leading by the hand a boy
FabricantGeorge Miles Mason
ÉpoqueFin du XIXème siècle - début du XXème siècle
Lieu de fabricationAngleterre (Southampton, Hampshire)
Description techniquelife models, photographie, plaque carrée fixe
DimensionsL. 81 mm l. 81 mm
CotePLM-00080-005 (Coll. Cinémathèque française)
Ralph's favourite story or "The wanderer's welcome" - livret
Presently a respectable-looking man came along the street, leading by the hand a pale, delicate-looking little boy about five-years old.
There was an air about the two which singled them as belonging to a different class from most of the people they passed.
"Rashers," mounds of yellow margarine, and "good fresh eggs thirty a shilling," were set out in tempting array on one stall, which was presided over by a rather dirty, but good-natured looking Irishman. "Buy 'em and try 'em, sir," he said. "Niver fresher eggs than thim ever left old Oirland, and they only reached London this morning, bein' sent to me by me own brother Patsy, from the swatest little town in Cork."
But Stephen Maxwell was not to be tempted by these luxuries, and he and little Ralph passed on. They had done their weekly marketing at the provision shops in the next street ; but it was their weekly amusement to go home by way of the busy market. Little Ralph always enjoyed the scene, and generally spent his Saturday penny on one or other of the fruit-stalls.

John Burnham, Ralph's favourite story : or, "The wanderer's welcome", n.d.

La vie à la campagne est paisible (plaque 1), alors qu'en ville tout le monde s'affaire (plaques 2 à 4).
Un père et son fils se promènent au milieu de cette agitation (plaque 5). Le fils, Ralphie, adore déambuler dans le marché et y dépenser son penny de la semaine. Ce jour là, il décide d'acheter des fleurs (plaque 6). Il est heureux de rentrer chez lui avec ses fleurs (plaque 7) et s'empresse de les mettre dans l'eau (plaque 8). Le père, Stephen Maxwell, est attendri par le comportement de son jeune fils qu'il élève seul depuis la disparition de sa femme. Ce soir là, Ralphie réclame une histoire à son père (plaque 9). Celui-ci n'en connaît aucune et lui retourne la question : il lui demande alors son histoire préférée. Le jeune garçon raconte alors l'histoire du Fils Prodigue (plaque 10). Tout en parlant, le petit Ralphie s'endort dans les bras de son père (plaque 11). Cette histoire plonge alors Stephen dans une réflexion sur ses propres rapports avec son père (plaque 12). Cela fait des années qu'il est parti de chez lui, et comme le Fils Prodigue, il n'a jamais donné de nouvelles à son père. Il se souvient que la dernière fois qu'il avait abordé le sujet, c'était juste avant que sa femme ne tombe malade (plaque 13). Sa pauvre Jessie était partie bien trop tôt (plaques 14 à 18). Il lui avait promis sur son lit de mort de revoir un jour son père, mais après sa disparition, il s'était plongé dans le travail pour oublier son chagrin, une voisine s'occupant alors de Ralphie (plaque 19). Il n'avait jamais repensé à revoir son père jusqu'à ce soir. Agenouillé devant le lit de son fils, il jure alors de partir au plus tôt voir son père et lui présenter son petit-fils, afin de tenir sa promesse (plaque 20). Dès le lendemain(plaque 21), il se montre heureux à l'idée d'aller vivre dans une maison avec un jardin et des fleurs (plaque 22). Ensemble, ils préparent leurs affaires (plaque 23), et disent adieux à la mère et l'épouse (plaque 24). Après un long voyage (plaque 25), ils arrivent devant la maison qui évoque tant de souvenirs à Stephen (plaque 26). Ralphie se précipite devant le parterre de fleurs (plaque 27) et il prononce alors pour la première fois le mot « grand-père ». Le vieil homme n'en croit pas ses oreilles et Stephen surgit pour combler les retrouvailles (plaque 28). Ils dînent alors ensemble (plaque 29). La soirée passe et c'est enfin la réconciliation entre le vieux père et le fils tant attendu, tel le Fils Prodigue (plaque 30).


5. A man, leading by the hand a boy