Rechercher

Choisir un de ces critères :

Life Models

Off to Philadelphia

Dix vues de type Life Models adaptant la chanson "My name is Paddy Leary", attribuée à Battison Haynes.

La chanson populaire a été mise en image par la firme anglaise Bamforth & Co en 1902 sous la forme de dix vues de type Life Models.

Nombre de plaques disponibles pour cette série : 10

  • Plaques
  • Contexte
[1. Intro. with Title]
[1. Intro. with Title]
[2. My name is Paddy Leary from a …
[2. My name is Paddy Leary from a …
[3. Wid ]my bundle on my shoulder[…
[3. Wid ]my bundle on my shoulder[…
4. There['s a] girl called Kate Ma…
4. There['s a] girl called Kate Ma…
5. But my heart is sad and weary […
5. But my heart is sad and weary […
6. Wid my bundle on my shoulder
6. Wid my bundle on my shoulder
7. When they told me I must leave …
7. When they told me I must leave …
8. But the tears will surely blind…
8. But the tears will surely blind…
9. But tho' my bundle's on my shou…
9. But tho' my bundle's on my shou…
10. Some day I'll take the notion …
10. Some day I'll take the notion …

Paddy Leary est contraint de quitter son Irlande natale. La veille de son départ pour Philadelphie, son baluchon sur l'épaule, il parcourt les environs de son village de Tippeary (plaques 2 et 3) et se rend compte de tout ce qui va lui manquer. En premier lieu, une jeune femme, Kate Maloney, qui ne deviendra jamais Madame Leary (plaque 4). Plein de tristesse (plaques 5 et 6), il repense aux siens (plaques 7 et 8). Arrive alors le moment du départ (plaque 9), et enfin le voilà parti : en regardant l'océan, il se promet qu'un jour il retraversera l'océan pour revoir sa chère Irlande et tous ceux qu'il y a laissé (plaque 10).

Traitant de l'émigration irlandaise vers les Etats Unis d'Amérique, la chanson a beaucoup voyagé avant de devenir une chanson populaire. G. Fitzgerald Penrose aurait entendu la mélodie d'une femme du comté de Cork. Très bon musicien, il aurait envoyé le morceau à son cousin Plunket Greene qui l'aurait joué devant Battison Haynes. Celui ci a arrangé la chanson avec d'excellents accompagnements. Les paroles seraient l'oeuvre d'un autre cousin de Greene, Herbert Greene.